HtmlToText
Demandez le programme! Chroniques croustillantes à l'affiche! Transfert…. Je passe très prochainement sur Blogger, les copains. Alors enlevez les tentes et faites vos sacs, et venez vous installer chez moi! Bienvenue! Le Paradis est un lien hypertexte, poto. 13 juin, 2012 à 10 h 29 min | Commentaires (2) | Permalien Comment ça, je pioche?!? On a tous un jour joué au Uno. Tous. Toi, ton voisin, le frère du pote d’un proche qui fait des études dans la compta… Tous. Pour moi, je saurai même pas dire à quand remonte ma première partie. Tu le sais, toi? En tout cas, j’y ai rejoué récemment, et je crois qu’ on peut lui inventer et décerner la palme du Jeu-Le-Plus-Calme-Auquel-Tout-Le-Monde-Finit-Par-Avoir-La-Faculté-De-Se-Prendre-Le-Chou… « Rhooo, mais arrête, c’est qu’un jeu…! », on l’a tous entendu au moins une fois dans une partie de Uno, quand un +4 tombe, quand des gens à 2 cartes font croire qu’ils n’en ont qu’une, quand le changement de sens prend des allures de débat politique. Des clans se créent alors. Des espèces de minis sectes (FAIS PAS GENRE, TU SAIS DE QUOI JE PARLE!) comme ceux qui prônent que « Si, on peut ajouter un +2 sur un +4 et ça fais un +6 au prochain », ceux qui disent que « Si, si tu mets la même carte exactement, même si c’est pas ton tour, ça saute le tour du prochain », ou encore les « Si, on a le droit de poser un « Chan geme nt de couleur » pour annuler un +4″. Ca te rappelle des choses…? Et au fond, je suis sûr que y’a pas UNE personne qui a déjà lue la notice cooooomplètement, en entier (si vous l’avez encore), et l’appliquant à la lettre. Ce serait trop beau. Ca deviendrait un jeu banal, un petit jeu de cartes pourri avec quatre couleurs, pour les maternels… « Trouves…un 8 VERT . Bravo! Tu as trouvé un 8 VERT ! » Non. Les mecs de chez Uno, ils sont malins. Ils veulent le chaos ludique, la discorde dans les chaumières où innocemment, on a cru passer du bon temps en sortant un petit jeu de cartes entre amis, le dimanche après midi, après la sieste et le café. Ca a eu un succès fou, pourtant. Après ils ont bien essayé de changer la donne (Ahah) en sortant des espèces d’hybrides insipides comme le Uno Extrême, Uno Wizz, j’en passe et des meilleurs… Mais on retrouve pas cette vraie saveur des parties de Uno simples pour des gens simples, et qui ne veulent pas se soucier d’acheter des piles pour jouer a u Uno, merde! Moi j’ai gardé le Uno simple. Parce que je suis simple dans ma tête, na. « Edition De Luxe », en plus. S’il vous plaît! On fait moins les malins, hein! … Entre nous, je ne sais pas ce du tout ce qu’elle a de plus que la version originale. Pourquoi « de luxe »? Parce que j’ai droit au truc violet qui tient les cartes? Parce que j’ai une feuille de marque qui traîne au fond et qu’on n’a jamais utilisé (tu la connais, toi aussi, celle-là… )? Parce qu’en exclusivité, la boîte qu’on te refile est fait dans une matière exprès pour qu’elle finisse en morceaux, même si t’en a pris le plus grand soin? Je sais pas… Mais un jour viendra où ce jeu va finir par nous isoler, si tout le monde est autant en désaccord sur ce jeu. On va finir par tous jouer seul, tiens. Wahou, j’imagine la partie de plaisir…. : »Je pose un +2. Oh non, un +2, je vais piocher moi-même deux cartes, mince. A mon tour… » 12 juin, 2012 à 16 h 34 min | Commentaires (1) | Permalien Roland Garros « 15-30, balle de set, avantage, balle de break et de double break flip-flop du service. » J’ai honte. J’ai fait 3 ans de tennis étant petit, et aujourd’hui j’y connais rien. J’adopte la technique du mouton, en approuvant quand le public applaudit, et en râlant quand le public siffle. Je suis donc pour celui qui gagne, évidemment, à Roland Garros, et quand c’est serré… ben souvent pour celui qui a le plus joli maillot, ou le cri le plus improbable, en frappant la balle. (Qui n’a jamais fermé les yeux et écouté un match de tennis, sérieux… On va éviter les blagues là-dessus, par contre. Ca semblerait pas de super bon goût… ). Cette année, Roland Garros a fait porter à la mode le fushia, sur les vêtements. Chez les filles, parfait, c’est joli, une jolie jupe sur une italienne en finale. Mais… Monsieur Nadal, non! Stop, arrêtez, tout le monde sait qu’il faut pas mélanger le blanc et les couleurs dans le lave-linge! Bla gue à part, il doit en avoir marre à force le pauvre, de chaque année avoir son anniversaire qui tombe au moment de Roland Garros (Oui, bon, vous allez me dire qu’il va pas le décaler…), et chaque année , on lui offre un gâteau, et chaque année , c’est le même gâteau en forme de raquette. Mais quelle inventivité! Y a vraiment des mecs sur Terre qui ont reçu un salaire pour imaginer un tel gâteau…? Il doit en avoir marre, Nadal. Je ne vais pas parler des français, je risquerais de tomber dans la vulgarité… Bon allez, d’accord, je vais en dénoncer un: Tsonga. 1)On arrête les Kinder Bueno au goûter 2)On arrête les pubs Adidas sur Youtube 3)On manque pas 4 balles de match. T-t-t-t! Je veux pas savoir. « Oui, mais il était carrément fort en face, c’est pas facile… » Je veux pas savoir, j’ai dit, Jo’. Par contre, j’ai beaucoup de mérites pour deux catégories de personnes à Roland Garros: les juges de lignes et les jeunes ramasseurs de balle. Les premiers parce qu’il sont là sans bouger, avec l’éventuelle joyeuse surprise de prendre dans l’oeil un petit cadeau jaune à 200km/h. Les seconds parce que dans la manière furtive de se déplacer sur le court, et pour donner des balles au joueur, ils m’ont toujours bien fait marrer. N’observez qu’eux, vous verrez… Ah oui, aussi: J’ai appris que la terre battue était faite en tuiles, qui ont au préalable (et c’est plutôt préférable…) été broyées. Mais les tuiles sont faites à partir de terre pure. Une question me vient alors… : Est ce que des gens ont reçu un salaire pour fabriquer des tuiles, et d’autres pour les détruire?!? Prendre direct de la terre, ça allait pas? Non mais… 10 juin, 2012 à 15 h 32 min | Commentaires (1) | Permalien Reprise n°2 Seconde reprise à deviner. Hé, c’est fastoche, donc c’est plus un exercice de rapidité qu’autre chose. Sauf si dans la vie on n’aime que le collectif métissé, le Colonel Reyel et M Pokora. Là oui, on peut ne pas connaître, en effet. Pardon à ceux-là, dans ce cas. Promis, j’en ferai une pour vous. Music Powa. 8 juin, 2012 à 15 h 24 min | Commentaires (5) | Permalien Pourquoi Twitter, c’est pas pour les amibes. Wouhou! Ca y est, je me suis mis sur Twitter. Par simple curiosité, puisque statistiquement, c’est le réseau social montant, avec déjà plus de 500 millions de « tweetos » (la machine à vocabulaire d’initiés à Twitter est lancée, et je vous garantie que la suite vous réserve pire, en mots compliqués. Calmez-vous, allez vous resservir à boire, et revenez après, je peux attendre un peu…) Bien! Le petit oiseau, donc, réserve bien des surprises. Déjà, quand tu t’inscris, ton compte ou celui de quelqu’un dont tu veux parler c’est @ + Nom . Tu sais pas pourquoi. C’est comme ça, et tu fais pas chier, quoi. Ensuite, quand tu parles d’un sujet, ça change! C’est # + Sujet ou Expression . Hop, surprise. On va baptiser ça le hashtag, tiens… Booon… Prenons Monsieur Dupond (qui par respect de l’anonymat s’appellera Monsieur X), qui s’appelle donc d’après le piaf et mes bonnes explications: @MonsieurX. Il peut « être ami » avec Madame Dupond, sa femme (qui l’a trompé récemment avec le jardinier. Souvenez-vous en bien pour la suite, c’est très important), @MadameX, il doit la « follow », la suivre, pour ainsi voir ce qu’on pourrait appeler son fil d’actualité. Les tweets, maintenant. C’est ce que l’on peut poster publiquement (visible que par ceux qui followent Madame X, les followers-ou suiveurs, ce qui fait un peu psychopathe…). C’est un petit post: 140 caractères ou plus, et t’es bon pour reformuler ton post. Conseil: le style télégraphique peut être une bonne solution contre ce problème. Bien. Et bien si Madame X met : » #jardin #JeVoisDesEtoiles Mon jardinier m’a fait un travail formi